-
A Ma Jeunesse V : A Mer...
Déroger aux superfluités
Pour observer, tel un mirage
Ces larmes au pur sertissage,
Ces topazes sans vanité.
Emerveillé par l'aporie,
Je n'empruntais que ses nervures,
Et puis blâmais, dans mes souillures,
Mon bon goût pour l'orfêvrerie.
Puis la voilà, si ragoutante,
Si informe, c'est une glace,
Je la goûte, elle m'enlace,
Nous nous drainons, oh ma bacchante !
A l'intérieur de ses entrailles,
Des menuets, des sarabandes !
Chaque fils a l'ombre qui scande :
Les hommes ne sont que piétaille...
Comment ne pas rester avide
D'un tel bonheur sans dimensions ?
Dans chacune de mes passions,
Je chercherai ma néréide.
Et en dansant la passacaille,
Nous aimerons l'humanité
Sertie de ses superfluités :
Les hommes ne sont que piétaille !
Stanley
-
Commentaires
1visiteur_.Lundi 14 Mai 2007 à 23:48"soupir"Répondre2visiteur_GwenMardi 15 Mai 2007 à 21:08De tr?jolies images :)
Ajouter un commentaire